Information retranscrite sans parti pris, pour ou contre !
à Paris, l’automobile n’intervient qu’à hauteur de 14% dans ces émissions. Les jours de pic de pollution, sa part descend même à 9%. Le reste des particules vient de nombreuses autres sources, rejets industriels, feux de cheminée, épandages d’engrais, dont les rejets peuvent venir survoler la capitale. Il y a davantage de particules dans une station de métro (causées par l’abrasion des freins) que dans la rue ! Ajoutons que les nouvelles voitures à essence à injection recrachent elles aussi des particules fines en grande quantité. Les normes européennes sont sur ce point pourtant beaucoup plus dures avec le diesel…
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