Forum MG

Excellent la Land qui a la chaude pisse en Afrique.
(c'est ce qui s'appelle faire corps avec la machine ;-) )

Une moins marrante mais plus technique:
On avait cassé le différentiel en s'amusant dans le sable au milieux d'un autre nulle part, après avoir fait venir une couronne de remplacement d'occasion , on a jamais trouvé les bonnes rondelles de distance pour la réparation, ce qui faisait des bruits méchants dans le point arrière, soit ça serrait, soit cela faisait du bruit. (on a mis des jours à démonter et remonter et essayer, mais on avait tout le temps)

On a finalement découpé avec un ciseau une belle rondelle dans une canette de soda et retiré une ou deux autres rondelles de distance pour tomber sur le bon réglage.
La voiture à continué son périple africain et est rentrée en Europe comme ça.
(elle y est peut-être encore ;-) )

Je viens de lire les treize pages de ce sujet...J'ai mal au côtes maintenant!

ttersu a écrit :Je viens de lire les treize pages de ce sujet...J'ai mal au côtes maintenant!

Oui, je les ai aussi relues la semaine dernière, j'ai passé un bon moment Il serait bon que ceux qui n'ont pas encore pris le temps de nous raconter leurs anecdotes le fassent aussi.

Tiens, une petite, que je crois pas encore avoir raconté.

J'étais réputé pour mes farces et canulars en tous genres, et j'avais quelques victimes favorites, dont un certain Cricri, qui roulait en Spitfire. Cricri était un jeune homme très BCBG, comme nous disions à l'époque, qui ne connaissait absolument rien à la technique automobile : c'était le garagiste de "Papa" qui entretenait sa bagnole.

Naturellement, j'abusais de sa méconnaissance pour le faire tourner en bourrique à chaque sortie, je me débrouillais pour mettre sa voiture en panne dès qu'il avait le dos tourné, etc... Un jour, j'ai eu l'idée aussi sotte que grenue de brancher son klaxon sur les feux de stop arrières avec un fil volant. Imaginez son retour dans la circulation parisienne, avec un grand coup d'avertisseur à chaque freinage. Il parait qu'il se faisait engueuler à chaque feu rouge.

Le pire, c'est que le garagiste de "Papa" s'y était mis aussi. Un jour, Cricri se pointe consterné à une sortie, le garagiste avait amélioré mon gag en remplaçant le klaxon d'origine par un klaxon "coucaracha"

Dans la catégorie "je me souviens de ma première voiture" :
Qui peut me dire ce que c'était ?
(c'était en fait ma deuxième achetée dans une casse pour 200-300.- que j'ai (tant bien que mal) retapée à 18 ans avec les moyens du bord , càd trois fois rien comme budget)
Les feux et les roues devraient vous mettre sur la piste
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Les feux arrières viennent d'une Dauphine ?

L'avant moulé sur une Dino ?

Bien vu !
une base dauphine avec une carrosserie prototype faite à une dizaine d'exemplaires dans les années 60

Feu AR dauphine ...:
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Prototype Devin?
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http://www.dauphinomaniac.org/Speciales ... Epoque.htm

Histoire d'une Bitza...
http://www.gatsbyonline.com/automobile/ ... 952-352452

Devin :
http://www.spiritracerclub.org/devin-co ... sserie-us/
(Même sur pont et boite MGA...)

On les voit mieux là :
http://www.devinspecial.com/

Quelle histoire...! je ne connaissais pas...
http://www.ferrariexperts.com/etceterin ... andini.htm

Tiens, ça fait longtemps que je ne vous ai pas raconté d'anecdote

Une qui me revient : j'avais adhéré au MGOC et au MGCC pas longtemps après avoir acheté la twin cams (quarante ans après j'en suis toujours membre) et je participais aussi souvent que possible aux sorties organisées par ces clubs, mais la twin cams, fidèle à sa réputation, était souvent en panne.

Les membres du MGCC, amusés de voir un froggy suffisamment givré pour s'obstiner à rouler avec cette cochonnerie malgré toutes les emmerdes qu'elle m'avait déjà causé, avaient pitié de moi, et dans ce cas là (c'est à dire souvent), ils se débrouillaient toujours pour me prêter une autre MG, histoire que je ne sois pas venu pour rien.

Je me souviens que ce jour là, un membre complaisant m'avait prêté une MG Y type. Pour ceux qui ont déjà du mal à croire que MG fabriquait déjà des voitures avant la MGB, une Y, c'est ça :

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Fier comme bar tabac, je me pavanais donc au volant de cette beauté intérieure (tiens, je viens de la trouver, celle là, j'en suis pas mécontent). Tout se passe bien, la voiture ronronne comme un gros matou, les manos sont au beau fixe, et j'ai la banane, d'autant plus que ma copine de l'époque ne faisait pas trop la gueule, vu qu'il ne s'agissait pas d'un cabriolet ouvert à tous les vents mais presque d'une "vraie" bagnole avec un toit.

Nous faisons halte pour casser la graine dans un pub et en repartant, je monte dans la voiture, elle démarre au quart de poil, tout le monde s'en va et.... je reste sur place !

Ces cochons là avaient actionné les crics hydrauliques intégrés à la voiture et les pneus touchaient à peine le sol.

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Naturellement, ils n'attendaient que ça pour faire demi tour et venir jouir du spectacle et se fiche de ma fiole

je me pavanais donc au volant de cette beauté intérieure (tiens, je viens de la trouver, celle là, j'en suis pas mécontent!

Ah non , vl'à que tu usurpes mes théories (du complot) concernant la "beauté ....intérieure...de la P6 Rover"!!! que j'emploie depuis 1985!

Alors tu n'es qu'un plagiaire par anticipation

les crics hydrauliques intégrés à la voiture

Génial ce système! Je ne savais que cela avait existé sur des voitures.

David_GT a écrit : Génial ce système! Je ne savais que cela avait existé sur des voitures.

En général, c'était monté par les carrossiers sur des châssis d'exception, Rolls Royce, etc... rarement par les marques elles mêmes...

rarement par les marques elles mêmes...

MG le faisait surtout sur les avants guerre...

Une panne vache de dynamo fort bien terminée.
En 1983, près de Nevers en montant à 4 MGB aux coupes de l' âge d' Or à Monthléry:
Tout près de Magny Cours, sur la B d' un ami, un grand bruit. Arrêt d' urgence, constat: le dynamo dont le palier AR n' avait pas vu d' huile depuis 1970 au moins venait de lâcher, le rotor de travers, la courroie sautée, le ventilateur avait même touché les ailettes du radiateur sans autre dégât qu' une belle empreinte sur les ailettes. A 500m de là, une casse comme on en voyait alors encore avant les balladurettes, jupettes et autres primes à la casse. Nous trouvons une vieille mini à dynamo. Le type nous la laisse prendre pour 10-120F, et 1/4 d' heure après, la voiture repartait, jour de chance dans notre malheur!

....je n'affiche que les années qui ont vu naitre les vrais D'jeunessss, pas celles plus tardives des "Pieds Tendres"....

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Je me souviens...de Denis.

http://boitierrouge.com/2017/05/21/17-n ... cauchemar/


Nous nous sommes connus à l'école Estienne en 64 à Paris, nous avons fait nos premiers pas ensemble dans le monde de la presse et plus particulièrement celui des quotidiens en 69.

A cause d'une forte ressemblance physique Denis était d'une certaine façon , mon frère jumeaux ! C'est en tout cas ainsi que nous étions perçus à cette époque. Mais pas que... nous partagions les mêmes valeurs humanitaires , la passion des voitures et une farouche aversion à supporter les "œillères" lorsque nous étions "ouvrier du livre" encarté à la CGT .
La dernière fois que nous nous sommes vu c'était en 1982, puis j'ai appris sa disparition ...

(L'article en lien que je viens de découvrir laisse supposer autre chose qu'un regrettable accident d'avion...)

(Soutenu par la direction de l'entreprise de presse ou il exerçait, Denis avait obtenu un poste de directeur technique malgré le désaccord des responsables syndicaux qui souhaitaient une autre candidature...Rompant ainsi définitivement le lien avec le syndicat...)

Je veux croire qu' aucun lien ne relie les causes de l'accident à la présence de Denis dans cet avion...


Peut être mon aversion à prendre l'avion vient il de cet évènement tragique sorte de phobie que n'a pas guéri le fait d'avoir épousé une hôtesse de l'air...

Beaucoup de circonstances peu favorables à la réussite de ce vol !!!
Désolé pour ton copain
Tiens !! Mon frère a aussi étudié à Estienne avant de faire un DSAA.

Tiens !! Mon frère a aussi étudié à Estienne avant de faire un DSAA.

Dans les années citées, il y avait encore des "pions" , j'ai le souvenir d'un grand balaise, qui était une vrai peau de vache...En revanche les profs que j'ai eu étaient plutôt sympas avec beaucoup de pédagogies, c'était pourtant avant 68...ou la pratique des gifles, tirages d'oreilles ou de cheveux, coups de pieds aux fesses, coups de règles sur les doigts ou sur la paume des mains étaient des pratiques courantes tolérées et passées sous silence par l'élève puni afin de ne pas avoir à ramasser la même chose à la maison!
On en est pas mort, mais cela ne favorisait ni ne stimulait aucunement l'envie d'aller à l'école ou même d'apprendre.

Certains profs étaient passés par la "case entreprise" c'est peut être ce qui faisait la différence avec ceux purement "Éducation nationale".
Plus tard j'ai bossé avec un de mes profs pendant la période des vacances au journal l'Aurore.
Il améliorait de cette façon ses fins de mois.
Devaient déjà pas être très bien payés, je ne sais pas exactement quel était leur statut par rapport aux autres profs....

Aujourd'hui, c'est les profs qui ramassent!!!!

danv8 a écrit :Aujourd'hui, c'est les profs qui ramassent!!!!

Pas sûr qu'il faille s'en réjouir.

ttersu a écrit :Je viens de lire les treize pages de ce sujet...J'ai mal au côtes maintenant!

Merci à tous les participants, moi aussi, j'ai passé une super soirée à lire ces 13 pages. C'est quand même marrant que les garnements se retrouvent en MG sur un forum. Faudra que j'apporte aussi ma contribution: j'ai fait 2 seconde et 3 première et viré de 9 lycées et boites à bac en 3 ans avant que mes parents me foutent dehors, alors forcément, il y quelques anecdotes à raconter ( pas toutes !).
Et je suis sûr qu'il y d'autres membres du forum qui ont des aventures à confesser, pardon, à raconter…!