TATA MOTORS....!!!!
- Arnaud
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- Enregistré le : 21 déc. 2004, 21:48
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L'inflation est due aux matières premières, une hausse des taux n'y changera rien si ce n'est qu'elle pénalisera encore plus l'investissement.
L'Euro n'est pas fort, c'est les autres qui sont faibles
Ce n'est pas un Euro fort grâce à des économies saines, c'est un Euro fort de spéculation, de placement par défaut, basé sur aucun fondamentaux que les entreprises pourraient utiliser pour compenser leurs coûts plus élevés à l'export. Mon avis mais je ne touche plus trop à la finance ces jours-ci !
L'Euro n'est pas fort, c'est les autres qui sont faibles

Les taux bas font le lit de la spéculation, spéculation qui avec effet de levier entraine la hausse des marières premières.
Les taux bas entrainent une vie à crédit, vie à crédit qui au moindre coup d'accordéon met les gens dans la misère (subprime).
Un Euro faible (encore plus faible) entrainera encore plus de rachat des sociétés européennes par des devises plus fortes ou des pétros $.
Le politique, l'économiste 'micro' est demandeur à des fins électorale / nombriliste ou 'court termiste' de taux bas et un euro faible.
Une vision 'macro' / moyen terme demande - actuellement - des taux plus élevés un un euro stable voire légèrement plus haut.
Cela dit, il est dommage que les medias traditionnels relayent la 'mondialisation' assortie d'une vision 'micro' - endogène à telle ou telle société - de l'économie.
Une vision globale (et macro) du monétarisme serait plus adéquate.
Les taux bas entrainent une vie à crédit, vie à crédit qui au moindre coup d'accordéon met les gens dans la misère (subprime).
Un Euro faible (encore plus faible) entrainera encore plus de rachat des sociétés européennes par des devises plus fortes ou des pétros $.
Le politique, l'économiste 'micro' est demandeur à des fins électorale / nombriliste ou 'court termiste' de taux bas et un euro faible.
Une vision 'macro' / moyen terme demande - actuellement - des taux plus élevés un un euro stable voire légèrement plus haut.
Cela dit, il est dommage que les medias traditionnels relayent la 'mondialisation' assortie d'une vision 'micro' - endogène à telle ou telle société - de l'économie.
Une vision globale (et macro) du monétarisme serait plus adéquate.
- Arnaud
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On a l'impression qu'une vision macro définit les priorités en terme de "puissance" économique alors que la micro définit plus les priorités en terme de "bien être" économique. Pas étonnant dans ce cas qu'on s'intéresse plus au "micro" !
Ce n'est pas tant les taux bas qui mettent les gens en difficulté, c'est le fait d'en avoir abusé ! le problème vient des règles de précaution qui ne sont pas respectées par tous.
Vu la taille de certains fonds je ne pense pas qu'un euro fort soit un rempart majeur à l'acquisition de sociétés européennes. On ne peut pas nier que ça gêne nos exports et que ça accélère l'investissement hors zone Euro. L'argument sur nos compétences supposées et l'innovation constante pour rester compétitif n'a pu vraiment lieu d'être avec la globalisation des compétences.
Bref on est foutu
Ce n'est pas tant les taux bas qui mettent les gens en difficulté, c'est le fait d'en avoir abusé ! le problème vient des règles de précaution qui ne sont pas respectées par tous.
Vu la taille de certains fonds je ne pense pas qu'un euro fort soit un rempart majeur à l'acquisition de sociétés européennes. On ne peut pas nier que ça gêne nos exports et que ça accélère l'investissement hors zone Euro. L'argument sur nos compétences supposées et l'innovation constante pour rester compétitif n'a pu vraiment lieu d'être avec la globalisation des compétences.
Bref on est foutu

<On a l'impression qu'une vision macro définit les priorités en terme de "puissance" économique alors que la micro définit plus les priorités en terme de "bien être" économique. Pas étonnant dans ce cas qu'on s'intéresse plus au "micro" ! >
(trop d'entrepreneurs européens ont une vision 'micro', une culture 'macro' est plus large et donne moins de mauvaises susprises; elle correspond plus à un plan dialectique).
<Ce n'est pas tant les taux bas qui mettent les gens en difficulté, c'est le fait d'en avoir abusé ! le problème vient des règles de précaution qui ne sont pas respectées par tous. >
(le problème de ceux qui réclament des taux bas - dans le contexte actuel - est que - quand je fouille un poil le 'pourquoi'- revient à affrir une tarte au chocolat à un malade du foie.)
<Vu la taille de certains fonds je ne pense pas qu'un euro fort soit un rempart majeur à l'acquisition de sociétés européennes. On ne peut pas nier que ça gêne nos exports et que ça accélère l'investissement hors zone Euro. L'argument sur nos compétences supposées et l'innovation constante pour rester compétitif n'a pu vraiment lieu d'être avec la globalisation des compétences. >
(le secours des fonds en difficultés (Merryl, Bear Stern, City) vient de Chine et d'Inde .... et de fait l'unité de base est supérieure au 'billion' beaucoup des Majors ont des actionnaires de référence non européens. Une grosse bulle - type bulle internet due a la faillite LTCM ou bulle subprime due à une mauvaise politique de taux bas - est en train de se préparer par un clash culturel et dogmatique: ... relire Malraux et comprende Mittal ou Tata : ça coince de partout.)
<Bref on est foutu >
je crois pas, .... le monde est un village et je connais pas mon voisin .... à découvrir .
(trop d'entrepreneurs européens ont une vision 'micro', une culture 'macro' est plus large et donne moins de mauvaises susprises; elle correspond plus à un plan dialectique).
<Ce n'est pas tant les taux bas qui mettent les gens en difficulté, c'est le fait d'en avoir abusé ! le problème vient des règles de précaution qui ne sont pas respectées par tous. >
(le problème de ceux qui réclament des taux bas - dans le contexte actuel - est que - quand je fouille un poil le 'pourquoi'- revient à affrir une tarte au chocolat à un malade du foie.)
<Vu la taille de certains fonds je ne pense pas qu'un euro fort soit un rempart majeur à l'acquisition de sociétés européennes. On ne peut pas nier que ça gêne nos exports et que ça accélère l'investissement hors zone Euro. L'argument sur nos compétences supposées et l'innovation constante pour rester compétitif n'a pu vraiment lieu d'être avec la globalisation des compétences. >
(le secours des fonds en difficultés (Merryl, Bear Stern, City) vient de Chine et d'Inde .... et de fait l'unité de base est supérieure au 'billion' beaucoup des Majors ont des actionnaires de référence non européens. Une grosse bulle - type bulle internet due a la faillite LTCM ou bulle subprime due à une mauvaise politique de taux bas - est en train de se préparer par un clash culturel et dogmatique: ... relire Malraux et comprende Mittal ou Tata : ça coince de partout.)
<Bref on est foutu >
je crois pas, .... le monde est un village et je connais pas mon voisin .... à découvrir .
(je ne retrouve plus le post où le mettre :
http://www.ft.com/cms/s/0/f9cb64be-d356 ... ck_check=1
si une bonne âme retrouve où placer cette page.
et
Tata :
http://www.lecho.be/article/La_Nano_de_ ... ns.6257635
http://www.ft.com/cms/s/0/f9cb64be-d356 ... ck_check=1
si une bonne âme retrouve où placer cette page.
et

http://www.lecho.be/article/La_Nano_de_ ... ns.6257635
TATA à acheté, à Ford, Jaguar et LandRover
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080326/t ... 1e315.html
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080326/t ... 1e315.html
- yellowcitron
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Voila ce qui se passe quand un homme d'affaire très riche ne sait plus quoi faire de son argent.....
L?indien TATA souhaite devenir actionnaire de Ferrari
Il fallait s?en douter, car rien n?est jamais anodin en ce bas monde.
Alors qu?il y a quelques jours à peine, le président Ratan Tata du groupe Tata et le vice-président John Elkann du groupe Fiat viennent de donner le départ du ?Magic Inde Disovery Tour? mettant à l?honneur deux somptueuses Ferrari 612 Scaglietti parties de Mumbai (Bombay), l?homme d?affaires indien vient de déclarer à l?hebdomadaire L?Espresso qu?il souhaiterait entrer au capital de Ferrari, filiale de Fiat.
Pour rappel, le groupe Tata est déjà allié à Fiat en Inde, tandis que Ratan Tata qui préside la filiale automobile Tata Motors, siège au conseil d?administration du constructeur italien.
?J?ai deux passions dans la vie : les voitures et les avions. J?ai toujours rêvé d?être capable de devenir pilote de chasse. Et je confirme mon souhait de faire partie de l?actionnariat de Ferrari?, a affirmé Rajan Tata à L?Espresso. Soyons lucide, ?notre? homme doit tout de même y trouver quelques intérêts financiers ?
?Luca di Montezemolo (qui préside Ferrari et Fiat) m?a invité à étudier l?Italie car son pays offre un grand nombre d?opportunités dans les secteurs du design et du luxe?, a-t-il ajouté. Nous y voilà, les ?opportunités? doivent être plus qu?alléchantes, pour que Tata souhaite mette la main à la pâte, aussi italienne soit-elle.
Fiat a porté en 2006 sa participation dans Ferrari à 85% en rachetant des participations vendues auparavant à des banques.
Sources : Reuters, PerformanceBourse
L?indien TATA souhaite devenir actionnaire de Ferrari
Il fallait s?en douter, car rien n?est jamais anodin en ce bas monde.
Alors qu?il y a quelques jours à peine, le président Ratan Tata du groupe Tata et le vice-président John Elkann du groupe Fiat viennent de donner le départ du ?Magic Inde Disovery Tour? mettant à l?honneur deux somptueuses Ferrari 612 Scaglietti parties de Mumbai (Bombay), l?homme d?affaires indien vient de déclarer à l?hebdomadaire L?Espresso qu?il souhaiterait entrer au capital de Ferrari, filiale de Fiat.
Pour rappel, le groupe Tata est déjà allié à Fiat en Inde, tandis que Ratan Tata qui préside la filiale automobile Tata Motors, siège au conseil d?administration du constructeur italien.
?J?ai deux passions dans la vie : les voitures et les avions. J?ai toujours rêvé d?être capable de devenir pilote de chasse. Et je confirme mon souhait de faire partie de l?actionnariat de Ferrari?, a affirmé Rajan Tata à L?Espresso. Soyons lucide, ?notre? homme doit tout de même y trouver quelques intérêts financiers ?
?Luca di Montezemolo (qui préside Ferrari et Fiat) m?a invité à étudier l?Italie car son pays offre un grand nombre d?opportunités dans les secteurs du design et du luxe?, a-t-il ajouté. Nous y voilà, les ?opportunités? doivent être plus qu?alléchantes, pour que Tata souhaite mette la main à la pâte, aussi italienne soit-elle.
Fiat a porté en 2006 sa participation dans Ferrari à 85% en rachetant des participations vendues auparavant à des banques.
Sources : Reuters, PerformanceBourse
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