Les Conseils de LouLou
Re: Les Conseils de LouLou
"La grande majorité des gens sont obligés de travailler pour gagner leur vie, et une large proportlon d’entre eux sont des travailleurs productifs. Mais énormément de travailleurs sont improductifs. Ils opèrent complètement à l'intérieur du cadre et des circonstances créés par le système capitaliste, comme de manipuler des factures, des contrats, des notes de crédit, des polices d'assurance, etc. Neuf travailleurs sur dix n'auraient pas de travail dans une société rationnelle où il n'y aurait nul besoin d'assurance ni d'aucune autre transaction commerciale. "
(Janet Biehl)
(Janet Biehl)
Re: Les Conseils de LouLou
"Si le travail c'est l'opium du peuple, alors je ne veux pas finir drogué..."
Re: Les Conseils de LouLou
"La presse française fait preuve d'une partialité révoltante et ne traite jamais que les mêmes sujets : les hommes politiques et les autres criminels."
Re: Les Conseils de LouLou
"C'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde."
Re: Les Conseils de LouLou
Dans le monde, il n'y a que la France qui n'est pas un pays étranger.
Re: Les Conseils de LouLou
Les devoirs ou il y a des conjugaisons s'appellent les devoirs conjugaux
Re: Les Conseils de LouLou
Tiens pour une foé que Loulou ne parle pas de Bezet!!



Re: Les Conseils de LouLou
Dans ce système, dès sa naissance, l'homme est une "marchandise".LouLou a écrit :"La grande majorité des gens sont obligés de travailler pour gagner leur vie, et une large proportlon d’entre eux sont des travailleurs productifs. Mais énormément de travailleurs sont improductifs. Ils opèrent complètement à l'intérieur du cadre et des circonstances créés par le système capitaliste, comme de manipuler des factures, des contrats, des notes de crédit, des polices d'assurance, etc. Neuf travailleurs sur dix n'auraient pas de travail dans une société rationnelle où il n'y aurait nul besoin d'assurance ni d'aucune autre transaction commerciale. "
(Janet Biehl)
Re: Les Conseils de LouLou
pour votre info
http://www.tdg.ch/actu/monde/galeries/f ... ich-lancee
pour écraser une larme
http://oldfortyfives.com/
http://www.tdg.ch/actu/monde/galeries/f ... ich-lancee
pour écraser une larme
http://oldfortyfives.com/
Re: Les Conseils de LouLou
Comment bien choisir sa souris
Savez-vous qu’une souris de PC peut parcourir plusieurs milliers de kilomètres dans sa vie ? Qu’il faut régulièrement lui décrotter les patins pour qu’elle puisse glisser sans à-coup ? Que vous lui tripotez le cul toute la journée ? Eh oui, sans même vous en rendre compte, vous caressez plus souvent votre mulot que votre femme.
Pourtant, on en oublierait presque son existence tant son utilisation est devenue banale.
Aujourd'hui, c'est surtout la technologie laser qui domine le marché des souris, même si la technologie optique offre encore de beaux restes.
Pour commencer, la résolution d'un capteur optique dépasse assez rarement les 1800 dpi, et offre une meilleure précision lors de mouvements rapides. En contrepartie, la technologie optique est très sensible au type de surface de glisse et décroche davantage dès que l'on surélève un peu trop la souris. De plus, une surface trop brillante, ou un défaut de surface (trous, aspérités, etc.) suffit également à faire décrocher la souris. Pour rentrer un peu plus dans les détails, la technologie optique s'appuie sur un ensemble composé d'une LED (Light Emitting Diode), d'un jeu de lentilles optiques, et d'un capteur CMOS (Complimentary Metal Oxyde Semiconductor).
Le faisceau lumineux de la LED traverse alors une première lentille et éclaire la surface de glisse où se trouve la souris. Avant d'être réfléchi au travers de la seconde lentille optique vers le capteur CMOS qui prend des clichés de la surface (par défaut, 125 clichés par seconde).
Avant de les transmettre à l'unité DSP qui se charge de calculer la position et les mouvements du curseur. Avant de transmettre à son tour les informations vers le PC, et en utilisant la même fréquence (125 Hz et une latence de 8 ms).
Le second critère d’importance est évidemment la résolution exprimée en dpi (dots per inch) ou ppp (points par pouce) puisqu’elle va déterminer la précision (notez que plus la résolution est élevée et plus il faut aussi une unité DSP efficace pour interpréter et calculer les données). Plus la résolution est élevée, plus la précision est fine, c’est-à-dire que la souris sera sensible au moindre de vos micro-mouvements. Concrêtement, la distance que devra parcourir le mulot pour déplacer le curseur d'un point A à un point B sur l'écran, sera plus courte (pour rappel, un point par pouce équivaut à 2,54 cm). C'est pourquoi cette course aux dpi frise le ridicule, tant il est difficile d'exploiter une résolution de 2000 dpi sur des moniteurs inférieurs à 24 pouces (1680 x 1050 pixels). La résolution de 3200 dpi offerte par la dernière G9 de Logitech, ou encore le record des 4000 dpi détenu par Razer et Lachesis, se justifient davantage avec un système multi-écran composé par exemple de deux moniteurs 24 pouces pour une résolution de 3360 x 1050 pixels ; ou de deux écrans 30 pouces pour une résolution totale de 5120 x 1600 pixels. Un système de toute façon inadapté, à moins d'utiliser le TripleHead 2Go de Matrox qui permet d'utiliser jusqu'à trois écrans et une résolution maximale de 3840 x 1024 pixels.
La seconde technologie utilise un laser à la place d’une LED mais repose sur le même principe de lentille et de capteur CMOS. Elle offre néanmoins une meilleure réflectivité grâce à un faisceau plus puissant et décroche moins lorsqu’on soulève la souris ou que la surface de glissement s’avère imparfaite. La résolution est aussi bien meilleure, pouvant atteindre jusqu’à 4000 dpi. Un autre élément très important à prendre en compte est l'ergonomie. Celui-ci peut paraître insignifiant mais une mauvaise ergonomie se caractérise par des douleurs au poignet ou par un mauvais placement des boutons latéraux par exemple. La qualité du revêtement de la souris n’est pas non plus totalement anodine, surtout si vous êtes sujet aux mains moites. Il est dans ce cas préférable de choisir un modèle utilisant un revêtement de type "grip". Le choix d’une souris n’est donc pas aussi simple, nous vous recommandons de prendre en main le mulot que vous aurez choisi avant de finaliser votre achat.
D'autres détails pourront ensuite influencer votre choix final : nombre de boutons, boutons programmables, souris filaire ou sans-fil, fil USB classique ou à mémoire de forme, changement de résolution à la volée, système de contrepoids, et pourquoi pas l'aspect esthétique de la souris. Sans oublier votre style.
Savez-vous qu’une souris de PC peut parcourir plusieurs milliers de kilomètres dans sa vie ? Qu’il faut régulièrement lui décrotter les patins pour qu’elle puisse glisser sans à-coup ? Que vous lui tripotez le cul toute la journée ? Eh oui, sans même vous en rendre compte, vous caressez plus souvent votre mulot que votre femme.
Pourtant, on en oublierait presque son existence tant son utilisation est devenue banale.
Aujourd'hui, c'est surtout la technologie laser qui domine le marché des souris, même si la technologie optique offre encore de beaux restes.
Pour commencer, la résolution d'un capteur optique dépasse assez rarement les 1800 dpi, et offre une meilleure précision lors de mouvements rapides. En contrepartie, la technologie optique est très sensible au type de surface de glisse et décroche davantage dès que l'on surélève un peu trop la souris. De plus, une surface trop brillante, ou un défaut de surface (trous, aspérités, etc.) suffit également à faire décrocher la souris. Pour rentrer un peu plus dans les détails, la technologie optique s'appuie sur un ensemble composé d'une LED (Light Emitting Diode), d'un jeu de lentilles optiques, et d'un capteur CMOS (Complimentary Metal Oxyde Semiconductor).
Le faisceau lumineux de la LED traverse alors une première lentille et éclaire la surface de glisse où se trouve la souris. Avant d'être réfléchi au travers de la seconde lentille optique vers le capteur CMOS qui prend des clichés de la surface (par défaut, 125 clichés par seconde).
Avant de les transmettre à l'unité DSP qui se charge de calculer la position et les mouvements du curseur. Avant de transmettre à son tour les informations vers le PC, et en utilisant la même fréquence (125 Hz et une latence de 8 ms).
Le second critère d’importance est évidemment la résolution exprimée en dpi (dots per inch) ou ppp (points par pouce) puisqu’elle va déterminer la précision (notez que plus la résolution est élevée et plus il faut aussi une unité DSP efficace pour interpréter et calculer les données). Plus la résolution est élevée, plus la précision est fine, c’est-à-dire que la souris sera sensible au moindre de vos micro-mouvements. Concrêtement, la distance que devra parcourir le mulot pour déplacer le curseur d'un point A à un point B sur l'écran, sera plus courte (pour rappel, un point par pouce équivaut à 2,54 cm). C'est pourquoi cette course aux dpi frise le ridicule, tant il est difficile d'exploiter une résolution de 2000 dpi sur des moniteurs inférieurs à 24 pouces (1680 x 1050 pixels). La résolution de 3200 dpi offerte par la dernière G9 de Logitech, ou encore le record des 4000 dpi détenu par Razer et Lachesis, se justifient davantage avec un système multi-écran composé par exemple de deux moniteurs 24 pouces pour une résolution de 3360 x 1050 pixels ; ou de deux écrans 30 pouces pour une résolution totale de 5120 x 1600 pixels. Un système de toute façon inadapté, à moins d'utiliser le TripleHead 2Go de Matrox qui permet d'utiliser jusqu'à trois écrans et une résolution maximale de 3840 x 1024 pixels.
La seconde technologie utilise un laser à la place d’une LED mais repose sur le même principe de lentille et de capteur CMOS. Elle offre néanmoins une meilleure réflectivité grâce à un faisceau plus puissant et décroche moins lorsqu’on soulève la souris ou que la surface de glissement s’avère imparfaite. La résolution est aussi bien meilleure, pouvant atteindre jusqu’à 4000 dpi. Un autre élément très important à prendre en compte est l'ergonomie. Celui-ci peut paraître insignifiant mais une mauvaise ergonomie se caractérise par des douleurs au poignet ou par un mauvais placement des boutons latéraux par exemple. La qualité du revêtement de la souris n’est pas non plus totalement anodine, surtout si vous êtes sujet aux mains moites. Il est dans ce cas préférable de choisir un modèle utilisant un revêtement de type "grip". Le choix d’une souris n’est donc pas aussi simple, nous vous recommandons de prendre en main le mulot que vous aurez choisi avant de finaliser votre achat.
D'autres détails pourront ensuite influencer votre choix final : nombre de boutons, boutons programmables, souris filaire ou sans-fil, fil USB classique ou à mémoire de forme, changement de résolution à la volée, système de contrepoids, et pourquoi pas l'aspect esthétique de la souris. Sans oublier votre style.
- Jidé de Grasse
- .
- Messages : 15830
- Enregistré le : 16 oct. 2008, 15:07
- Région : France - PACA
- Type : Plusieurs
- année : 1960
- Contact :
Re: Les Conseils de LouLou
oui, oui, oui.
Bien, bien.
tu t'emmerdes au boulot c'est ça ?
Bien, bien.
tu t'emmerdes au boulot c'est ça ?

Re: Les Conseils de LouLou
c'est très calme aujourd'hui
mais je te trouve sacrément dur .. tu serais un inconnu, tu aurais déjà ramassé ton coup de batte
et pi je trouve que le sujet n'est pas dénué d'intéret ... pharisien va

mais je te trouve sacrément dur .. tu serais un inconnu, tu aurais déjà ramassé ton coup de batte

et pi je trouve que le sujet n'est pas dénué d'intéret ... pharisien va

Re: Les Conseils de LouLou
À votre avis...
Mais qui vous a demandé votre avis ?
Lorsque quelqu’un vous demande votre avis ou un conseil sur un sujet en particulier, c’est uniquement pour se confirmer à lui-même, qu’il pense exactement le contraire et que c’est lui qui a raison.
On se fout de votre avis, même si on vous le demande.
Qui n’a pas un beau-frère, un voisin ou une connaissance qui ne rate jamais l’occasion de vous dire comment faire ?
Pourquoi quelqu’un d’autre saurait mieux que vous ce qui vous convient ?
Et si c’est vous qui demandez l’avis de quelqu’un c’est la même chose que de lui dire:
- Bien voilà, comme je suis un imbécile et un crétin pourrais-tu m’éclairer sur cette situation étant donné que tu es plus intelligent que moi ?
Vous avez là une piètre opinion de vous-même.
Mais qui vous a demandé votre avis ?
Lorsque quelqu’un vous demande votre avis ou un conseil sur un sujet en particulier, c’est uniquement pour se confirmer à lui-même, qu’il pense exactement le contraire et que c’est lui qui a raison.
On se fout de votre avis, même si on vous le demande.
Qui n’a pas un beau-frère, un voisin ou une connaissance qui ne rate jamais l’occasion de vous dire comment faire ?
Pourquoi quelqu’un d’autre saurait mieux que vous ce qui vous convient ?
Et si c’est vous qui demandez l’avis de quelqu’un c’est la même chose que de lui dire:
- Bien voilà, comme je suis un imbécile et un crétin pourrais-tu m’éclairer sur cette situation étant donné que tu es plus intelligent que moi ?
Vous avez là une piètre opinion de vous-même.
Re: Les Conseils de LouLou
l'option MG+ vous manque ? moi si ... ben j'ai retrouvé
utilisé le lien ci dessous :
http://www2.mgcontact.eu/phpBB2/viewforum.php?f=71
utilisé le lien ci dessous :
http://www2.mgcontact.eu/phpBB2/viewforum.php?f=71
Re: Les Conseils de LouLou
Le bénévole (du latin actus bénévolus) est un mammifère bipède que l'on rencontre surtout dans les associations, où il peut se réunir avec ses congénères.
Les bénévoles se rassemblent à un signal mystérieux appelé convocation et se font généralement appeler sociétaires.
L'ennemi héréditaire du bénévole-sociétaire est le Yaka dont les origines n'ont pu, à ce jour, être déterminées. Le Yaka est un mammifère bipède qui se caractérise surtout par un petit cerveau qui ne lui permet de connaître que 2 mots Yaka, ce qui explique son nom.
L'avenir du Yaka
Le grand Yaka bien en retrait de toute activité collective attend le moment d'une erreur, d'un oubli, pour bondir et lancer son venin qui atteindra l'adversaire et provoquera chez celui-ci une maladie très grave, le découragement.
Les sociétaires décimés par le découragement risquent de disparaître et il n'est pas impossible que dans quelques années, on rencontre cette espèce uniquement dans les zoos, comme tous ces malheureux animaux enfermés qui n'arrivent plus à se reproduire.
Les Yaka avec leur petit cerveau et leur grande langue viendront alors pour leur lancer des cacahuètes pour tromper leur ennui. Ils se rappelleront avec nostalgie le passé pas si lointain où le bénévole abondait et où on pouvait le traquer sans contrainte.
Pourtant un autre prédateur fait rage ! Il s'agit des irremplaçables, espèce non moins redoutables composée de petites gens qui se disent indispensables.
On leur doit tout. Fort heureusement, ce qu'il y a de bien avec cette petite classe, c'est qu'il suffit d'attendre et de prendre son mal en patience en se disant : laissons, il pourra toujours servir dans tous les sens du terme.
Les bénévoles se rassemblent à un signal mystérieux appelé convocation et se font généralement appeler sociétaires.
L'ennemi héréditaire du bénévole-sociétaire est le Yaka dont les origines n'ont pu, à ce jour, être déterminées. Le Yaka est un mammifère bipède qui se caractérise surtout par un petit cerveau qui ne lui permet de connaître que 2 mots Yaka, ce qui explique son nom.
L'avenir du Yaka
Le grand Yaka bien en retrait de toute activité collective attend le moment d'une erreur, d'un oubli, pour bondir et lancer son venin qui atteindra l'adversaire et provoquera chez celui-ci une maladie très grave, le découragement.
Les sociétaires décimés par le découragement risquent de disparaître et il n'est pas impossible que dans quelques années, on rencontre cette espèce uniquement dans les zoos, comme tous ces malheureux animaux enfermés qui n'arrivent plus à se reproduire.
Les Yaka avec leur petit cerveau et leur grande langue viendront alors pour leur lancer des cacahuètes pour tromper leur ennui. Ils se rappelleront avec nostalgie le passé pas si lointain où le bénévole abondait et où on pouvait le traquer sans contrainte.
Pourtant un autre prédateur fait rage ! Il s'agit des irremplaçables, espèce non moins redoutables composée de petites gens qui se disent indispensables.
On leur doit tout. Fort heureusement, ce qu'il y a de bien avec cette petite classe, c'est qu'il suffit d'attendre et de prendre son mal en patience en se disant : laissons, il pourra toujours servir dans tous les sens du terme.
Re: Les Conseils de LouLou
c'est tellement vrai 

Re: Les Conseils de LouLou
Salut.J'ai connu deux sortes de Yaca...1° le yacafaucon ; 2° le Yacavraicon



Re: Les Conseils de LouLou
moi aussi ... et quand tu grattes tu remarques que c'est les mêmes 
t'es rentré de Corse vieux brigand ?

t'es rentré de Corse vieux brigand ?
Re: Les Conseils de LouLou
Oui juste avant le mauvais temps




Re: Les Conseils de LouLou
Quad Xeon MP 8M & E8500
Jolie bourgade d'environ 50'000 habitants située au cœur du Maryland (USA), Potomac est principalement connue pour ses spécialités culinaires exceptionnelles, telle la langue de bœuf au Nesquick ou les rognons flambés au jus d'orange. Hors sujet ? OK. Potomac représente aussi le nom de code d'une génération de Xeon MP d'Intel. C'est le sujet de cet article, et c'est du lourd.
Les articles dédiés aux CPUs multicores, que ce soit Intel et AMD, sont assez monotones, tant les performances mesurées sont identiques aux prévisions. Pour cette raison, nous avons cherché une nouveauté dans le panel des constructeurs, quelque chose qui sortent de l'ordinaire et qui soie agréable et intéressant. Puisque ici, on ne rigole pas, nous avons choisi de vous parler de plateformes Quad Core, et plus particulièrement de la plateforme "Truland" d'Intel, équipée des fameux Xeon MP "Potomac" et du chipset à l'architecture imposante : l'E8500. Au programme donc, des Xeon 64-bit ready, basé sur un core Prescott, et dotés d'un énorme cache L3 de 8 Mo. Conçus pour fonctionner par quatre dans des environnements lourds en requêtes, nous avons du trouver un challenger crédible côté AMD. Pour ce faire, nous n'utiliserons pas un Quadri Opteron, mais plutôt un Dual Opteron Dual Core..
Côté processeurs, la gamme de Xeon "MP" (c'est à dire prévu pour fonctionner à quatre, ou plus) est généralement la dernière à bénéficier des nouveaux cores et nouveaux bus. En effet, la stabilité sur ces plateformes est plus que critique et les technologies utilisées se doivent d'avoir été éprouvée dans la gamme grand public ainsi que dans la gamme Xeon "DP". Très récemment, les Xeon MP utilisaient encore le bon vieux core Northwood ainsi qu'un FSB à 100 MHz (400 QDR). Avec l'arrivée des Potomac, le passage au core Prescott s'accompagne ainsi de l'ajout de l'EM64T, de l'EIST, ainsi que d'un cache L3 qui peut aller jusqu'a 8 Mo, et bien sur, du cache L2 de 1 Mo classique.
Côté chipset, l'E8500 est une petite révolution dans le milieu du Xeon MP. Pourquoi ? Parce qu’il est tout simplement le premier chipset Intel à supporter ces processeurs. Ceci peut paraitre étonnant, mais depuis 2001, ce sont des chipsets tiers, principalement le ServerWorks GC-HE, qui équipaient les serveurs quadri-CPUs. Nul doute qu'Intel ait voulu reprendre le contrôle de ce marché très lucratif. Toutefois, si le marché des gros serveurs MP est "à forte valeur ajoutée", il est également celui où les erreurs ne sont pas tolérées. Le pari d'Intel a donc été d'offrir un chipset équipé d'une multitude de fonctionnalités destinées à offrir une "fiabilité" exceptionnelle, ainsi que des performances de premier ordre. Tout ceci, bien sûr, en garantissant une marge d'erreur nulle, ou presque. Sur le papier, l'E8500 semble impressionnant. Face au Serverworks GC-HE premièrement, mais même face aux solutions DP comme l'E7525, qui sont généralement plus performantes sur certains points.
Jolie bourgade d'environ 50'000 habitants située au cœur du Maryland (USA), Potomac est principalement connue pour ses spécialités culinaires exceptionnelles, telle la langue de bœuf au Nesquick ou les rognons flambés au jus d'orange. Hors sujet ? OK. Potomac représente aussi le nom de code d'une génération de Xeon MP d'Intel. C'est le sujet de cet article, et c'est du lourd.
Les articles dédiés aux CPUs multicores, que ce soit Intel et AMD, sont assez monotones, tant les performances mesurées sont identiques aux prévisions. Pour cette raison, nous avons cherché une nouveauté dans le panel des constructeurs, quelque chose qui sortent de l'ordinaire et qui soie agréable et intéressant. Puisque ici, on ne rigole pas, nous avons choisi de vous parler de plateformes Quad Core, et plus particulièrement de la plateforme "Truland" d'Intel, équipée des fameux Xeon MP "Potomac" et du chipset à l'architecture imposante : l'E8500. Au programme donc, des Xeon 64-bit ready, basé sur un core Prescott, et dotés d'un énorme cache L3 de 8 Mo. Conçus pour fonctionner par quatre dans des environnements lourds en requêtes, nous avons du trouver un challenger crédible côté AMD. Pour ce faire, nous n'utiliserons pas un Quadri Opteron, mais plutôt un Dual Opteron Dual Core..
Côté processeurs, la gamme de Xeon "MP" (c'est à dire prévu pour fonctionner à quatre, ou plus) est généralement la dernière à bénéficier des nouveaux cores et nouveaux bus. En effet, la stabilité sur ces plateformes est plus que critique et les technologies utilisées se doivent d'avoir été éprouvée dans la gamme grand public ainsi que dans la gamme Xeon "DP". Très récemment, les Xeon MP utilisaient encore le bon vieux core Northwood ainsi qu'un FSB à 100 MHz (400 QDR). Avec l'arrivée des Potomac, le passage au core Prescott s'accompagne ainsi de l'ajout de l'EM64T, de l'EIST, ainsi que d'un cache L3 qui peut aller jusqu'a 8 Mo, et bien sur, du cache L2 de 1 Mo classique.
Côté chipset, l'E8500 est une petite révolution dans le milieu du Xeon MP. Pourquoi ? Parce qu’il est tout simplement le premier chipset Intel à supporter ces processeurs. Ceci peut paraitre étonnant, mais depuis 2001, ce sont des chipsets tiers, principalement le ServerWorks GC-HE, qui équipaient les serveurs quadri-CPUs. Nul doute qu'Intel ait voulu reprendre le contrôle de ce marché très lucratif. Toutefois, si le marché des gros serveurs MP est "à forte valeur ajoutée", il est également celui où les erreurs ne sont pas tolérées. Le pari d'Intel a donc été d'offrir un chipset équipé d'une multitude de fonctionnalités destinées à offrir une "fiabilité" exceptionnelle, ainsi que des performances de premier ordre. Tout ceci, bien sûr, en garantissant une marge d'erreur nulle, ou presque. Sur le papier, l'E8500 semble impressionnant. Face au Serverworks GC-HE premièrement, mais même face aux solutions DP comme l'E7525, qui sont généralement plus performantes sur certains points.
Re: Les Conseils de LouLou
Appareil de règlage de la chasse et carrossage
http://www.selectronic.fr/gunson-appare ... ssage.html
Appareil de règlage du parallélisme
http://www.selectronic.fr/gunson-platin ... lisme.html
http://www.selectronic.fr/gunson-appare ... ssage.html
Appareil de règlage du parallélisme
http://www.selectronic.fr/gunson-platin ... lisme.html
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