Blague du jour
deux anciens sur le vieux port
tiens mon fils va ouvrir un restaurant
ah çà c'est bien,et comment qui va l'appeler son restaurant
il va l'appeler mescouilles mickey
oh là là mais il est complétement fada ton fils çà ne marchera jamais avec un nom comme çà
et pourquoi que çà ne marcherai pas avec ce nom,l'autre maqueue donald çà marche bien non?
tiens mon fils va ouvrir un restaurant
ah çà c'est bien,et comment qui va l'appeler son restaurant
il va l'appeler mescouilles mickey
oh là là mais il est complétement fada ton fils çà ne marchera jamais avec un nom comme çà
et pourquoi que çà ne marcherai pas avec ce nom,l'autre maqueue donald çà marche bien non?
Un homme se trouvait dans le coma depuis un certain temps et son épouse était a son chevet jour et nuit. Un jour, l'homme se réveilla. Il fit signe à son épouse de s'approcher, et lui chuchota :
Durant tous ces malheurs tu étais à mes côtés...
- Lorsque j'ai été licencié, tu étais là pour moi,
- Lorsque mon entreprise a fait faillite, tu m'as soutenu,
- Lorsque nous avons perdu la maison, tu es restée près de moi,
- Et lorsque j'ai eu des problèmes de santé, tu étais toujours encore à mes cotés. Tu sais quoi ?
Les yeux de la femme s'emplirent de larmes d'émotion.
- Quoi donc, mon chéri ? chuchota-t-elle.
- Je crois que tu me portes la poisse, connasse !
Durant tous ces malheurs tu étais à mes côtés...
- Lorsque j'ai été licencié, tu étais là pour moi,
- Lorsque mon entreprise a fait faillite, tu m'as soutenu,
- Lorsque nous avons perdu la maison, tu es restée près de moi,
- Et lorsque j'ai eu des problèmes de santé, tu étais toujours encore à mes cotés. Tu sais quoi ?
Les yeux de la femme s'emplirent de larmes d'émotion.
- Quoi donc, mon chéri ? chuchota-t-elle.
- Je crois que tu me portes la poisse, connasse !
- mg1921
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Une devinette
Qui va trouver
3 hommes vont dans un hôtel. Le réceptionniste annonce la chambre à 30?.
Donc chacun donne 10?.
Un peu plus tard, le réceptionniste réalise que la chambre est en fait à 25?.
Il appelle le groom et l'envoie avec les 5? chez les gars qui ont loué la chambre.
En route, le groom se demande comment il va partager les 5 ? en 3.
Il décide de donner à chaque gars 1? et garde 2? pour lui.
Donc chacun des 3 gars a payé 9? pour la chambre ; cela fait donc un total de 27?.
Ajoutons à ces 27? les 2? gardés par le groom ; cela fait 29?.
Ou est l'autre euro ?
Qui va trouver
3 hommes vont dans un hôtel. Le réceptionniste annonce la chambre à 30?.
Donc chacun donne 10?.
Un peu plus tard, le réceptionniste réalise que la chambre est en fait à 25?.
Il appelle le groom et l'envoie avec les 5? chez les gars qui ont loué la chambre.
En route, le groom se demande comment il va partager les 5 ? en 3.
Il décide de donner à chaque gars 1? et garde 2? pour lui.
Donc chacun des 3 gars a payé 9? pour la chambre ; cela fait donc un total de 27?.
Ajoutons à ces 27? les 2? gardés par le groom ; cela fait 29?.
Ou est l'autre euro ?
Une femme se réveille pendant la nuit et constate que son mari n'est pas au lit. Elle enfile son peignoir et descend voir ou il est. Elle le trouve
dans la cuisine assis devant une tasse de café. Il parait bouleversé et fixe le mur. Elle le voit essuyer une larme en avalant une gorgée de café.
- Qu'est-ce qui ne va pas chéri ?.
Le mari lève les yeux de son café il lui demande solennellement :
- Tu te souviens, il y a 20 ans, quand on s'était donné rdv, tu n'avais alors que 16 ans ?
- Oui je m'en souviens, répond-elle.
Le mari fait une pause, les mots lui viennent difficilement.
- Te souviens-tu que ton père nous a surpris en train de faire l'amour à l'arrière de la voiture ?
- Oui, je m'en souviens, dit la femme en s'asseyant à ses cotés.
Le mari continue :
- Te souviens-tu quand il a pointé son flingue sur ma tempe et qu'il a
dit : Ou tu épouses ma fille ou je t'envoie en tôle pour 20 ans
- Je m'en souviens aussi, répond-elle, doucement.
Il essuie une autre larme et balbutie :
- J'aurais été libéré aujourd'hui...
dans la cuisine assis devant une tasse de café. Il parait bouleversé et fixe le mur. Elle le voit essuyer une larme en avalant une gorgée de café.
- Qu'est-ce qui ne va pas chéri ?.
Le mari lève les yeux de son café il lui demande solennellement :
- Tu te souviens, il y a 20 ans, quand on s'était donné rdv, tu n'avais alors que 16 ans ?
- Oui je m'en souviens, répond-elle.
Le mari fait une pause, les mots lui viennent difficilement.
- Te souviens-tu que ton père nous a surpris en train de faire l'amour à l'arrière de la voiture ?
- Oui, je m'en souviens, dit la femme en s'asseyant à ses cotés.
Le mari continue :
- Te souviens-tu quand il a pointé son flingue sur ma tempe et qu'il a
dit : Ou tu épouses ma fille ou je t'envoie en tôle pour 20 ans
- Je m'en souviens aussi, répond-elle, doucement.
Il essuie une autre larme et balbutie :
- J'aurais été libéré aujourd'hui...
- Allo, l'hôpital de XXXXXX ?
- Oui Monsieur, ici le standart: que puis-je pour vous ?
- Je souhaiterais avoir des nouvelles de Mr Jean Dupont...
- Ne quittez pas je vous passe le service...
- Allo, ici l'infirmière, je vous écoute...
- Je souhaiterais avoir des nouvelles de Mr Jean Dupont...
- Je ne suis pas habilitée à vous répondre: pour cela, il faudrait que je vous passe l'interne de service, mais il n'est pas disponible pour le moment, rappelez plus tard !
Plus tard, même service, l'interne de service au bout du fil...
- Pourrais-je avoir des nouvelles de Mr Jean Dupont ?
- Désolé Monsieur, je viens de prendre ma garde et je n'ai donc pas suivi le cas de ce Monsieur depuis son arrivée... le chef de service pourra par contre vous renseigner: vous pourrez lui parler demain matin...
Le lendemain matin, même service, le chef de service est au bout du fil...
- Bonjour Docteur, pourriez vous avoir l'amabilité de me donner des nouvelles de Mr Jean Dupont ?
- Oui, bien sur: il va bien, nous avons fait les examens nécessaires, il n'a rien de grave et il sortira demain matin...
- Oh, Docteur comme je suis content d'entendre cette heureuse nouvelle !
- Vous êtes de sa famille probablement ?
- En quelque sorte, Docteur... ici c'est Jean Dupont lui-même et comme je n'ai jamais pu avoir la moindre information sur mon état de santé tout au long de mon séjour dans ce foutu hôpital, il m'est venu l'idée de ce stratagème !
- Oui Monsieur, ici le standart: que puis-je pour vous ?
- Je souhaiterais avoir des nouvelles de Mr Jean Dupont...
- Ne quittez pas je vous passe le service...
- Allo, ici l'infirmière, je vous écoute...
- Je souhaiterais avoir des nouvelles de Mr Jean Dupont...
- Je ne suis pas habilitée à vous répondre: pour cela, il faudrait que je vous passe l'interne de service, mais il n'est pas disponible pour le moment, rappelez plus tard !
Plus tard, même service, l'interne de service au bout du fil...
- Pourrais-je avoir des nouvelles de Mr Jean Dupont ?
- Désolé Monsieur, je viens de prendre ma garde et je n'ai donc pas suivi le cas de ce Monsieur depuis son arrivée... le chef de service pourra par contre vous renseigner: vous pourrez lui parler demain matin...
Le lendemain matin, même service, le chef de service est au bout du fil...
- Bonjour Docteur, pourriez vous avoir l'amabilité de me donner des nouvelles de Mr Jean Dupont ?
- Oui, bien sur: il va bien, nous avons fait les examens nécessaires, il n'a rien de grave et il sortira demain matin...
- Oh, Docteur comme je suis content d'entendre cette heureuse nouvelle !
- Vous êtes de sa famille probablement ?
- En quelque sorte, Docteur... ici c'est Jean Dupont lui-même et comme je n'ai jamais pu avoir la moindre information sur mon état de santé tout au long de mon séjour dans ce foutu hôpital, il m'est venu l'idée de ce stratagème !
- yellowcitron
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- Région : France - Pays de la Loire
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- année : 1974
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Un homme comparaît devant le juge parce qu'il a tué sa femme.
Juge : « C'est un grave délit ; si vous pouvez apporter des circonstances atténuantes, la peine sera allégée ».
L'homme : « Elle était bête ; je devais tout simplement la tuer ».
Juge : « Ceci n'est pas une déclaration atténuante ; si vous ne voulez pas rester toute votre vie derrière les barreaux, vous devrez venir avec autre chose ».
Sur quoi l'homme déclare : « On habitait dans un appartement. Au 12me vivait une famille avec 2 enfants. C'était pénible, le fils de 12 ans n'avait que 90 cm et la fille de 19 ans que 85 cm ».
Un jour, je dis à ma femme : « C'est quand même triste les enfants de ces gens ».
« Oui, répond-elle, ce sont des Pyrénées. »
Je lui dis : « Tu veux dire des Pygmées ».
« Non, me dit-elle, Pygmées, c'est ce que tu as sous la peau et qui fait les taches de rousseur. »
Je dis : « Ça ce sont des pigments ».
« Non, dit-elle, pigment, c'est une formation rocheuse qui forme un fronton. »
Je réponds : « C'est le pédiment, ça ».
« Non, répond-elle, le pédiment est l'homme qui en rue demande l'aumône. »
« Vous comprenez, Monsieur le Juge, que je n'avais plus envie de lui répondre qu'il s'agissait d'un mendiant. Je m'assis donc dans le fauteuil pour lire mon journal. »
Soudain, ma femme vient avec la locution suivante, et je me dis : « Elle est bonne pour l'asile ».
« Chéri, regarde un peu », et elle me montre une phrase dans un livre ouvert sur la table : Het zonnedak van de handtas was de lerares van pooier 15.
« Mais chérie, lui dis-je, on ne traduit pas comme ça La Marquise de Pompadour est la Maîtresse de Louis XV. Cela signifie De Marquise van Pompadoer was de maîtresse van Louis de 15.
« Non, me réplique ma femme, tu dois traduire cela littéralement : La Marquise -> het zonnedak, Pompadour -> de handtas, la maîtresse -> de lerares, Louis XV -> de pooier. Tu penses si je le sais, moi, j'a eu des cours de Néerlandais, en extra d'un recteur ».
« Tu veux dire un lecteur. »
« Non, continue-t-elle, Lecteur est un héros romain. »
Je dis : « C'est Hector et il était Troyen ».
« Non, me dit-elle, hector est une mesure agraire. »
« Mais non, ça c'est hectare. »
« Non, poursuit-elle, Hectar est une boisson divine. »
« Tu veux dire le nectar sans doute ? »
« Non, le nectar est une rivière au sud de l'Allemagne. »
« Ça, c'est la Neckar. »
Ma femme : « Tu connais cette chanson : Sur les rives de la Neckar, sous la pleine lune argentée. Je l'ai encore
chantée avec une amie en duet ».
« En duo, je présume. »
« Non, un duo, c'est quand deux hommes se battent au sabre. »
Je lui réponds que ça, c'est un duel !
« Mais non, dit-elle, un duel, c'est un long couloir noir dans la montagne, d'où sort un train. »
« Monsieur le Juge, à ce moment-là, j'ai pris le marteau et je lui ai fracassé le crâne. »
Ils se taisent... Puis le Juge : « Acquitté ! Je l'aurais déjà massacrée à Hector... ».
Juge : « C'est un grave délit ; si vous pouvez apporter des circonstances atténuantes, la peine sera allégée ».
L'homme : « Elle était bête ; je devais tout simplement la tuer ».
Juge : « Ceci n'est pas une déclaration atténuante ; si vous ne voulez pas rester toute votre vie derrière les barreaux, vous devrez venir avec autre chose ».
Sur quoi l'homme déclare : « On habitait dans un appartement. Au 12me vivait une famille avec 2 enfants. C'était pénible, le fils de 12 ans n'avait que 90 cm et la fille de 19 ans que 85 cm ».
Un jour, je dis à ma femme : « C'est quand même triste les enfants de ces gens ».
« Oui, répond-elle, ce sont des Pyrénées. »
Je lui dis : « Tu veux dire des Pygmées ».
« Non, me dit-elle, Pygmées, c'est ce que tu as sous la peau et qui fait les taches de rousseur. »
Je dis : « Ça ce sont des pigments ».
« Non, dit-elle, pigment, c'est une formation rocheuse qui forme un fronton. »
Je réponds : « C'est le pédiment, ça ».
« Non, répond-elle, le pédiment est l'homme qui en rue demande l'aumône. »
« Vous comprenez, Monsieur le Juge, que je n'avais plus envie de lui répondre qu'il s'agissait d'un mendiant. Je m'assis donc dans le fauteuil pour lire mon journal. »
Soudain, ma femme vient avec la locution suivante, et je me dis : « Elle est bonne pour l'asile ».
« Chéri, regarde un peu », et elle me montre une phrase dans un livre ouvert sur la table : Het zonnedak van de handtas was de lerares van pooier 15.
« Mais chérie, lui dis-je, on ne traduit pas comme ça La Marquise de Pompadour est la Maîtresse de Louis XV. Cela signifie De Marquise van Pompadoer was de maîtresse van Louis de 15.
« Non, me réplique ma femme, tu dois traduire cela littéralement : La Marquise -> het zonnedak, Pompadour -> de handtas, la maîtresse -> de lerares, Louis XV -> de pooier. Tu penses si je le sais, moi, j'a eu des cours de Néerlandais, en extra d'un recteur ».
« Tu veux dire un lecteur. »
« Non, continue-t-elle, Lecteur est un héros romain. »
Je dis : « C'est Hector et il était Troyen ».
« Non, me dit-elle, hector est une mesure agraire. »
« Mais non, ça c'est hectare. »
« Non, poursuit-elle, Hectar est une boisson divine. »
« Tu veux dire le nectar sans doute ? »
« Non, le nectar est une rivière au sud de l'Allemagne. »
« Ça, c'est la Neckar. »
Ma femme : « Tu connais cette chanson : Sur les rives de la Neckar, sous la pleine lune argentée. Je l'ai encore
chantée avec une amie en duet ».
« En duo, je présume. »
« Non, un duo, c'est quand deux hommes se battent au sabre. »
Je lui réponds que ça, c'est un duel !
« Mais non, dit-elle, un duel, c'est un long couloir noir dans la montagne, d'où sort un train. »
« Monsieur le Juge, à ce moment-là, j'ai pris le marteau et je lui ai fracassé le crâne. »
Ils se taisent... Puis le Juge : « Acquitté ! Je l'aurais déjà massacrée à Hector... ».
- yellowcitron
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- yellowcitron
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n'y vas pas c'est un conseilyvre a écrit :"Dans le marbre ça fait un peu funèbre, disons que si tu étais de marbre se serait plus réjouissant pour ta femme"
...Dis donc toi, on voit que tu ne m'as jamais vu à poil dans ma salle de bain en..."marbre"... Viens y si t'es un homme...!!!
il a pour habitude de laisser tomber la savonnette

- yellowcitron
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Nordiste a écrit :.
il a pour habitude de laisser tomber la savonnette d'aprés ses amis
C'est donc lui que l'on surnomme Yvette !![]()
Pour la rime, je verrai plutôt mieux, Yvette en Midget.![]()
![]()
dis Christian,tu te rends compte des relations qu'on a
un gars qui fréquente :le zébre ,les toilettes de la "voix du Nord",qui fait le coup de la savonnette,et en plus pour acheter sa voiture il oblige à coucher
oh la la il va falloir surveiller nos arriéres

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